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CHARLES, ou le coeur qui bat moins fort quand un vieux oublié s’en va en silence.

CHARLES, ou l’appel de la solidarité face à l’individualisme grandissant.
CHARLES ou ces petits faits divers, quotidiens, silencieux, happés par de plus grands.

CHARLES, ou ces gens (trop nombreux) seuls derrière leurs fenêtres.

CHARLES, ou un voisin, un inconnu, un négligé. 

À l’heure où nos vieux sont devenus des parias. Encore plus qu’ils ne l’étaient déjà. 

À l’heure où cela porte un nom, là au Japon : le kodokushi (ou la mort solitaire).

À l’heure ou en temps de confinement, personne n’est logé à la même enseigne et à cette heure encore où ils sont trop nombreux à braver l’interdit, au mépris des autres.
À cette heure-là, déterminante pour l’avenir de l’Humanité, voici CHARLES, cette fiction, qui s’emmêle avec le réel. 

L'histoire

CHARLES c’est l’histoire d’un homme qui décide un jour de s’enfermer seul chez lui, sans plus aucun contact avec le monde. Durant 25 ans, jusqu’à ce qu’il soit retrouvé mort : de faim probablement, de froid, de solitude, de peur, peut-être aussi. Mais entouré de milliers de faits divers qu’il a soigneusement archivés. Iris qui avait huit en 1995 revient dans ce petit village. Celui où elle a grandi. Celui-là même où un jour, un homme, son voisin Charles a décidé de fermer sa porte à tout jamais. Ou pour toujours. Elle décide de nous raconter cet homme et son destin. 


La nouvelle création de la compagnie (dés)illusions oscille, dans un dispositif scénique particulier, entre théâtre d’objet, théâtre documentaire et étude anthropologique. CHARLES plonge le specta(c)teur dans une enquête immersive pour tenter de répondre à ces questions : qui était cet homme, qui sont les Hommes et que font-ils de l’Autre.


𝗠𝗶𝘀𝗲 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 Vanessa Verstappen & Bruno Briquet

𝗖𝗵𝗼𝗿𝗲́𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲 Bruno Briquet

𝗦𝗰𝗲́𝗻𝗼𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗲 Alexis Heroult & Alissa Maestracci

𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗽𝗿𝗲́𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 Timothy Fildes & Vanessa Verstappen

𝗘𝘁 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 Nathalie Barattucci, Olivier Baes, Patrick Brüll, Sarah Clerens, Laurent Dauvillée, Daniel Donies et Yasmine El Mkhoust

𝗖𝗿𝗲́𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗻𝗼𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗲 Jean-Maël Guyot

𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 La Tribu/Cie(dés)illusions

𝗔𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗮𝗶𝗱𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 l'Art de Rien, la MCFA, la Ville de Marche-en-Famenne, la Ville de Namur et de Namur Confluent Culture,  le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Direction de la Diffusion et la Loterie Nationale.

𝗨𝗻 𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 𝗱𝗲 Vanessa Verstappen 𝑙𝑖𝑏𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑖𝑛𝑠𝑝𝑖𝑟𝑒́ 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑢𝑠 𝑀𝑎𝑙𝑡𝑒 : « 𝑀𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑖 𝑐𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑖𝑛…

…𝑒𝑡 𝑛𝑢𝑙 𝑛𝑒 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑜𝑢̀ 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑎𝑙𝑙𝑒́»

Spectacle reconnu Tournée Art et Vie : 11564-3

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